Sub Regional Office for Central Africa (SRO-CA)https://hdl.handle.net/10855/225892024-03-28T22:33:26Z2024-03-28T22:33:26ZDéveloppement des énergies renouvelables au service de l’industrialisation et de la diversification économique en Afrique centralehttps://hdl.handle.net/10855/494802023-04-07T10:06:44Z2023-01-01T00:00:00ZDéveloppement des énergies renouvelables au service de l’industrialisation et de la diversification économique en Afrique centrale
La crise sanitaire due à la maladie à coronavirus (COVID-19), qui s’est transformée en crise socioéconomique, a mis en évidence la faiblesse structurelle des économies d’Afrique centrale, peu diversifiées, très peu industrialisées et tributaires d’exportations à faible valeur ajoutée. Les pays d’Afrique centrale dépendent fortement de leurs exportations de produits de base, en particulier de pétrole, ce qui les rend très vulnérables aux fortes fluctuations des prix sur les marchés internationaux et les expose à divers chocs externes et mondiaux, ainsi qu’à des dettes insoutenables. La transition à long terme du monde entier vers une économie
à faible émission de carbone, un choix inévitable pour atténuer le changement climatique, va entraîner une baisse spectaculaire de la demande de combustibles fossiles, ce qui va provoquer des désinvestissements et un risque accru d’actifs échoués dans les pays producteurs de combustibles fossiles d’Afrique centrale. C’est pourquoi ces pays doivent s’efforcer de renforcer leurs économies. En plus de la protection contre ces chocs, la diversification de l’économie est de plus en plus reconnue comme essentielle pour le développement économique. Elle s’accompagne généralement d’une mise à niveau des industries grâce à la diffusion de technologies, pour entraîner une hausse de la productivité et une plus grande efficacité dans la répartition des facteurs de production au sein des secteurs et entre eux. Les pays d’Afrique centrale doivent promouvoir une industrialisation inclusive et à forte intensité technologique ainsi que le changement structurel, pour renforcer leur développement socioéconomique, ce qui ne va pouvoir se faire que s’ils ont accès à des services énergétiques durables. Une énergie abordable et fiable est une condition préalable indispensable à l’amélioration de la productivité et de la compétitivité des industries et constitue donc un élément crucial de la diversification économique. La précarité de l’accès à l’électricité et le sous-développement du secteur de l’énergie ont eu des répercussions négatives sur le développement du tissu économique, industriel et social de la sous-région.
2023-01-01T00:00:00ZValidation meeting on the study to assess the feasibility of establishing and managing a common agro-industrial park between Zambia and Zimbabwehttps://hdl.handle.net/10855/475532022-03-22T03:34:54Z2021-11-01T00:00:00ZValidation meeting on the study to assess the feasibility of establishing and managing a common agro-industrial park between Zambia and Zimbabwe
Building on a long history of collaboration, the Governments of Zambia and Zimbabwe have launched a joint industrialization program to promote structural and economic transformation in the two countries. The two member States have identified the development of a common agro-industrial park as a starting point for industrial cooperation. The COMESA secretariat, with the support of the Sub regional Office for Southern Africa (SRO-SA) of the Economic Commission for Africa (ECA), retained a consultant to undertake a study to assess the feasibility of establishing and managing a common agro-industrial park between Zambia and Zimbabwe within the context of sub regional efforts to advance industrialization. The draft feasibility study report was reviewed and validated at a virtual regional meeting jointly organized by COMESA and SRO-SA. The present report contains a summary of the discussions and outcomes of that validation meeting. The expected outcomes of the meeting included: enhanced understanding of key issues relevant to the development of agro-industrial parks, including the proposed park between Zambia and Zimbabwe; enhanced knowledge of potential value chain development, related opportunities for micro-, small and medium sized enterprises, including women’s business organizations, the benefits stemming from industrial collaboration, including in the context of agro-industrial parks, and the potential impact on the activities of the proposed agro-industrial park of AfCFTA, the COVID-19 pandemic, green industrialization, e-commerce and the so-called “fourth industrial revolution”.
2021-11-01T00:00:00ZStratégie nationale de mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine du Cameroun 2020-2035https://hdl.handle.net/10855/464182021-10-04T20:05:52Z2020-05-01T00:00:00ZStratégie nationale de mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine du Cameroun 2020-2035
L’initiative de l’Union africaine (UA), d’inscrire dans son Agenda 2063 le projet phare de Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), vise à approfondir l’intégration économique du continent en créant un marché unique avec libre circulation des personnes, des biens et des capitaux. Ceci devra contribuer à améliorer la compétitivité des économies et des entreprises africaines et accroître substantiellement le commerce intra-africain.
Cet accroissement devra résulter notamment de la réduction et/ou de la suppression des barrières
tarifaires et non-tarifaires, ainsi que d’une meilleure harmonisation et coordination de la libéralisation et de la facilitation du commerce et des instruments à travers les Communautés économiques régionales (CER), et l’Afrique de manière générale. C’est dans ce but qu’a été adopté par les dirigeants du continent le Plan d’action pour stimuler le commerce intra-africain (Boosting Intra African Trade - BIAT).
La ZLECAf est susceptible d’améliorer la compétitivité des économies et des entreprises en raison notamment du développement des infrastructures transfrontalières, des possibilités de production à grande échelle et d’accès aux marchés continentaux. Quelques études (dues notamment à la CEA et au FMI) ont permis d’évaluer les impacts socio-économiques ex-ante : à long terme, la ZLECAf induirait une baisse des inégalités, une hausse des revenus des ménages, et une augmentation du PIB du continent si elle est accompagnée des réformes structurelles appropriées. La baisse des recettes fiscales est largement compensée par ces bénéfices.
La propension du Cameroun à tirer profit de l’Accord portant création de la ZLECAf est bien réelle, due en partie à ses dotations en ressources naturelles et à son positionnement géographique, qui valorisent ses attributs de pôle commercial sous-régional. Le Cameroun a ratifié l’Accord en octobre 2019. Dans le but ultime de mettre en perspective l’Accord à l’échelle nationale, le pays, à travers ce document, se dote d’une stratégie de mise en œuvre. Ce document a été élaboré suivant un processus participatif, avec la collaboration active d’acteurs de toutes les sensibilités sociales (administrations, secteur privé et société civile). Ces différentes consultations ont permis de faire une bonne analyse situationnelle, d’établir un diagnostic et de collecter d’autres informations nécessaires à l’élaboration de ce document de stratégie. Elles ont permis en particulier d’identifier les besoins et intérêts spécifiques des parties prenantes
concernées.
S’appuyant sur les opportunités et les menaces potentielles pouvant résulter de la ZLECAf, ce document de stratégie est ancré sur la vision de développement à long terme du Cameroun et adossé à son nouveau Plan directeur d’industrialisation. Il vise à diversifier l’économie camerounaise et à accroître les échanges commerciaux du pays avec l’Afrique. Y sont identifiées des actions prioritaires à entreprendre afin que le secteur privé puisse tirer profit de la Zone de libre-échange continentale africaine, et des mesures visant à renforcer les mécanismes institutionnels qui permettraient d’assurer une mise en œuvre réussie de l’Accord portant création de la ZLECAf.
2020-05-01T00:00:00ZFinancement de l’industrialisation en Afrique centralehttps://hdl.handle.net/10855/440632021-09-29T04:05:14Z2018-09-01T00:00:00ZFinancement de l’industrialisation en Afrique centrale
Le présent rapport d’étude a été préparé sous la direction de M. Antonio Pedro, Directeur du Bureau sous-régional de la Commission économique pour l’Afrique en Afrique centrale. Mme Mama Keita, Cheffe de la Section des politiques de diversification économique et des réformes dudit Bureau a assuré la coordination, la supervision technique et la revue des différentes parties du rapport. Les principaux auteurs du document sont les suivants : M. Issouf Soumaré de l’Université Laval au Canada, a rédigé l’ensemble du rapport à l’exception de la première partie. Celle-ci a été préparée par M. Abdulrahman Sowe, allocataire de recherche au Bureau sous-régional de la CEA en Afrique centrale. M. Julian R. Slotman du même Bureau a formulé des remarques dans la perspective de l’amélioration de ce travail. Les experts ayant pris part à la trente-quatrième session du Comité intergouvernemental d’experts (CIE) pour l’Afrique centrale, à Ndjamena du 18 au 21 Septembre 2018, ont examiné le document, fait des observations et formulé des recommandations dans le sens de l’enrichissement du document. M. Paul Aimé Ekoumbamaka, doctorant en Lettres et Arts de l’Université de Lyon II (France) a procédé à la relecture du document. L’édition finale, la conception graphique, et l’impression ont été réalisées par la section des publications de la CEA, sous la coordination de M. Demba Diarra, Chef de ladite section. Qu’il nous soit donc permis d’exprimer notre gratitude à tous ceux qui ont contribué à la finalisation de ce rapport.
2018-09-01T00:00:00ZPour industrialisation basée sur les ressources : Quelle marge budgétaire pour la promotion de l’industrialisation en Afrique centrale ?https://hdl.handle.net/10855/440442021-09-29T04:05:06Z2020-10-01T00:00:00ZPour industrialisation basée sur les ressources : Quelle marge budgétaire pour la promotion de l’industrialisation en Afrique centrale ?
Le présent rapport d’étude intitulé « Pour une industrialisation basée sur les ressources : Quelle marge budgétaire pour la promotion de l’industrialisation en Afrique centrale ? » a été préparé par le Bureau sous-régional pour l’Afrique Centrale de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA/BSR-AC) sous la coordination générale et l’orientation d’Antonio M. A. Pedro, Directeur du Bureau sous-régional. Il a été examiné, enrichi et validé par la réunion du Groupe ad hoc d’Experts qui s’est tenue le 20 septembre 2018 à N’Djamena, au Tchad. Ce rapport a été supervisé par Mama Keita, Cheffe de la Section des politiques de diversification économique et des réformes. Dans ce contexte, l’Afrique centrale dispose de richesses naturelles abondantes et non exploitées qui pourraient servir de moteurs potentiels de son industrialisation à travers la création ou l’insertion dans les chaînes de valeur régionales et mondiales. Le présent rapport propose un aperçu des implications du faible niveau de diversification économique des pays d’Afrique centrale pour leur développement économique et social. Cette structure économique qui est caractérisée par la production de biens et services à faible valeur ajoutée, ne permet pas à ces pays d’engranger des recettes budgétaires et d’exportations substantielles, et mine leur capacité à mobiliser les ressources nécessaires au financement de leur développement.
2020-10-01T00:00:00ZMade in central Africa: du cercle vicieux au cercle vertueuxhttps://hdl.handle.net/10855/244932021-05-17T23:53:41Z2018-05-01T00:00:00ZMade in central Africa: du cercle vicieux au cercle vertueux
Cette étude, objet du présent rapport a pour thème : « Made in Central Africa : du cercle vicieux au cercle vertueux ». L’objectif de l’étude est de permettre au CIE de la sous-région d’examiner les conditions et modalités pratiques d’une impulsion et d’une accélération progressive de la production industrielle compétitive en Afrique Centrale. L’idée est de formuler un ensemble de mesures concrètes susceptibles d’être mises en œuvre pour briser le cercle vicieux d’une croissance non-inclusive alimentée en l’occurrence par une faible industrialisation en Afrique Centrale. Il s’agit en conséquence de faire progressivement de l’industrie manufacturière compétitive, le principal levier d’une croissance forte, durable et inclusive ou créatrice d’emplois décents, permettant le développement du commerce intra-régional et une meilleure insertion des pays dans les chaines de valeur mondiales. Les conditions et modalités pratiques à réaliser pour une transition rapide vers un cercle vertueux de croissance inclusive et durable en Afrique Centrale constituent donc la finalité de la présente étude. Dans cette optique, l’étude nous permet de disposer d’un rapport utile à la prise de décisions des autorités et acteurs clés de l’Afrique Centrale au niveau national et régional, en vue de favoriser et stimuler l’adoption d’un modèle de croissance économique tiré par l’industrialisation accélérée des pays.
2018-05-01T00:00:00ZKey recommendations of sessions of the Regional Coordination Mechanism for Africa (2006–2018)https://hdl.handle.net/10855/417332021-05-17T23:53:40Z2019-02-07T00:00:00ZKey recommendations of sessions of the Regional Coordination Mechanism for Africa (2006–2018)
The purpose of the annual meetings is to promote synergy and coordination among the agencies and organizations of the United Nations system, with a view to improving their collective response to meeting the priority needs of the continent and in their delivery of support to African Union organizations, for greater effectiveness and impact. RCM-Africa aims to achieve this by stepping up the joint programming and implementation of activities, operationalized through a cluster system. Another key objective of RCM-Africa is to improve cooperation and collaboration between agencies of the United Nations system and African continental organizations, such as the African Union Commission, the New Partnership for Africa’s Development (NEPAD) Agency, regional economic communities, and the African Development Bank (AfDB). The RCM-Africa secretariat has prepared the present compilation, recording the recommendations and priorities the mechanism has identified at the successive sessions, from the seventh to the nineteenth, and indicating the extent to which the recommendations have been implemented, with the purpose of assisting clusters and sub clusters with the implementation.
2019-02-07T00:00:00ZFinancing industrialization in Central Africahttps://hdl.handle.net/10855/417292021-05-17T23:53:38Z2019-01-01T00:00:00ZFinancing industrialization in Central Africa
The Economic Commission for Africa (ECA) sub regional Office for Central Africa organized the thirty-fourth session of the Intergovernmental Committee of Experts for Central Africa in N’Djamena under the theme “Financing industrialization in Central Africa”. The main goal of the session was to give experts the opportunity to discuss the social and economic progress achieved by the countries of the sub region, together with ways to mobilize additional financial resources to support industrialization and economic transformation in Central Africa. Another aim of the session was to take stock of the implementation of sub-regional, continental and international initiatives and review the progress made in implementing the ECA Sub-regional Office for Central Africa program of work for 2017.
2019-01-01T00:00:00ZPrivatization in the minerals industry of Africa: participation of domestic private sectorhttps://hdl.handle.net/10855/389272021-05-17T23:53:39Z1997-12-01T00:00:00ZPrivatization in the minerals industry of Africa: participation of domestic private sector
The adoption by many African countries of liberalization principles and policies placing emphasis on private sector in their economic development had opened up the African mining industry to both domestic and foreign-based private sector. This paper deals with the participation of African private sector (companies, entrepreneur’s groups, ordinary people) in both large and small-scale operations. After a brief on African private entities involved in large-scale mining operations, it reviews factors which, in some countries, facilitated the involvement of nationals in such activities; and suggests co-operation between private sector as one of the participation of indigenous activities.
1997-12-01T00:00:00ZTowards greater Road Safety in central Africahttps://hdl.handle.net/10855/363282023-10-10T06:35:30Z2015-11-01T00:00:00ZTowards greater Road Safety in central Africa
During the two-day meeting, road safety experts from land transport ministries of ECCAS member States as well as representatives of ECCAS, CEMAC, WHO, World Bank and civil society organizations working in the area of civil safety, will propose concrete measures to speed up implementation of the said plan
2015-11-01T00:00:00ZLes économies de l'Afrique Centrale 2005https://hdl.handle.net/10855/256352022-12-08T16:05:42Z2005-10-01T00:00:00ZLes économies de l'Afrique Centrale 2005
Le redressement amorcé en Afrique centrale depuis 2000 s'est poursuivi tout au long de ces quatre dernières années. La plupart des indicateurs macroéconomiques s'améliorent et les grands équilibres se consolident. Le taux de croissance réel de la zone CEEAC, qui est reste supérieur à 3 % depuis 2001, devrait se situer au-delà de 8% en 2004, niveau le plus élevé en Afrique. Si cet élan de croissance se maintient sur une période relativement longue, que des transformations structurelles s'opèrent et que les revenus sont équitablement redistribués, la sous-région réunirait quelques conditions essentielles pour une lutte efficace contre la pauvreté.
2005-10-01T00:00:00ZRapport de la trente-troisième réunion du Comité intergouvernemental d’experts (CIE) pour l’Afrique Centralehttps://hdl.handle.net/10855/242982021-05-17T23:53:41Z2017-09-01T00:00:00ZRapport de la trente-troisième réunion du Comité intergouvernemental d’experts (CIE) pour l’Afrique Centrale
Une forte baisse des performances économiques a été enregistrées depuis 2015 en Afrique centrale était due à la chute des cours internationaux des matières premières. Avec un système productif dominé par l’exportation des matières premières et caractérisé par la faiblesse de la production manufacturière et du développement technologique, l’Afrique centrale s’était retrouvée dans un cercle vicieux. Ce cercle vicieux était entretenu par plusieurs initiatives et plans d’industrialisation qui n’avaient pas produit les résultats escomptés, en plus de facteurs négatifs internes et externes. Les économies de l’Afrique centrale disposaient d’importants atouts, notamment des dotations en ressources naturelles et des facteurs favorables pour sortir du cercle vicieux et migrer vers un cercle vertueux dans lequel l’industrie manufacturière serait le moteur de la croissance et du développement.
2017-09-01T00:00:00ZReport of the thirty-third Session of the Intergovernmental Committee of Experts for Central Africahttps://hdl.handle.net/10855/242942021-05-17T23:53:41Z2017-09-01T00:00:00ZReport of the thirty-third Session of the Intergovernmental Committee of Experts for Central Africa
The Economic Commission for Africa (ECA) Sub regional Office for Central Africa organized the thirty-third session of the intergovernmental committee of experts for Central Africa on the theme of “Made in Central Africa: from the vicious to the virtuous circle”. The main goal of the meeting was to give experts the opportunity to discuss economic and social development issues in Central Africa, in particular the industrial fabric, and propose strategies to speed up structural transformation of the economies of the sub region. Another aim of the meeting was to take stock of the implementation of sub regional, continental and international initiatives and review the progress made in executing the economic commission for Africa sub regional office for Central Africa program of work for 2016.
2017-09-01T00:00:00ZRapport de la trente-troisième réunion du Comité intergouvernemental d’experts (CIE) pour l’Afrique Centralehttps://hdl.handle.net/10855/242722021-05-17T23:53:41Z2017-09-01T00:00:00ZRapport de la trente-troisième réunion du Comité intergouvernemental d’experts (CIE) pour l’Afrique Centrale
Le Bureau sous-régional de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) en Afrique centrale a organisé, du 26 au 29 septembre 2017 à Douala (Cameroun), la trente-troisième réunion du Comité intergouvernemental d’experts (CIE) pour l’Afrique centrale. Organisée en partenariat avec le Ministère de l’économie, de la planification et de l’aménagement du territoire du Cameroun, la réunion portait sur le thème suivant : « Made in Central Africa: du cercle vicieux au cercle vertueux ».
La réunion a offert aux experts l’opportunité d’échanger sur des questions de développement économique et social en Afrique centrale. La question du tissu industriel et les propositions de stratégies aux fins d’accélérer la transformation structurelle des économies de la sous-région n’ont pas non plus été occultées.
2017-09-01T00:00:00ZConcept note: Ad Hoc experts group meeting on the theme: harnessing agro-industry potential to support structural transformation in Central Africahttps://hdl.handle.net/10855/240632021-05-17T23:53:38Z2017-11-01T00:00:00ZConcept note: Ad Hoc experts group meeting on the theme: harnessing agro-industry potential to support structural transformation in Central Africa
The study describes the current situation of the agroindustry in the sub-region. It analyses those factors that argue the case for diversified and socially inclusive growth via the development of the agro-industry as well as factors that encourage development of the agro-industry value chain. The study identifies the actions to be carried out, with emphasis on the way forward, policies, strategies and the institutions needed to develop the agro-industry in Central Africa. The meeting aims to consider and validate the study on harnessing agro-industry potential to support structural transformation in Central Africa; Provide guidance and/or formulate recommendations to enable Central African countries to fully leverage agro-industry potential and opportunities; Discuss and share ideas on the issues and challenges of the agro-industry.
2017-11-01T00:00:00ZNote conceptuelle (Projet) de la trente troisième session du Comité intergouvernemental d’expertshttps://hdl.handle.net/10855/240592021-05-17T23:53:41Z2017-11-01T00:00:00ZNote conceptuelle (Projet) de la trente troisième session du Comité intergouvernemental d’experts
L’objectif principal de la trente-troisième session du CIE est d'examiner les questions réglementaires liées au mandat et au fonctionnement du BSR-AC, de permettre aux experts d’échanger sur les questions de développement économique et social en Afrique Centrale et particulièrement sur le développement du tissu industriel de l’Afrique Centrale, afin de proposer des stratégies pour accélérer la transformation structurelle des économies de la sous-région. La réunion vise également à faire le point sur l’état de mise en oeuvre des initiatives sous régionales, continentales et internationales afin de formuler des recommandations appropriées pour un développement économique inclusif et soutenu de l’Afrique Centrale. Un autre objectif de cette session est d’examiner les progrès accomplis dans la réalisation du programme de travail de la CEA/BSR-AC en 2016 et de donner des orientations pour la mise en oeuvre du programme du bureau au titre de l’année 2017.
2017-11-01T00:00:00ZIndice africain de développement social: mesurer l’exclusion humaine pour la transformation structurellehttps://hdl.handle.net/10855/239832021-05-17T23:53:41Z2017-08-01T00:00:00ZIndice africain de développement social: mesurer l’exclusion humaine pour la transformation structurelle
L’Indice africain de développement social (IADS) part d’une hypothèse : le développement social devrait s’exprimer par une amélioration des conditions de vie des individus. Il arrive trop souvent qu’on mesure les éléments contextuels susceptibles d’améliorer les conditions de vie des populations, par exemple, l’expansion de la couverture des services de base ou la participation accrue à la planification et à la prestation de services. Pourtant, il semble bien qu’il soit difficile de traduire directement ces éléments contextuels en résultats réels ayant susceptibles d’améliorer les conditions de vie des populations africaines. En adoptant une approche du cycle de vie axé sur les six dimensions du bien-être qui correspondent aux effets de l’exclusion humaine, l’IADS, outil de suivi des politiques publiques, devrait aider les États membres à définir des politiques sociales plus inclusives, et les orienter vers le processus de mise en œuvre de l’Agenda 2063 et du Programme de développement durable à l’horizon 2030. Ces derniers mettent l’accent sur l’inclusion en tant que facteur clé pour un développement durable et équitable. Selon l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, il ne faut « laisser personne pour compte»; cela constitue aussi la vision des objectifs de développement durable, vision dans laquelle la lutte contre les inégalités est mise en exergue. L’intérêt de l’Indice africain de développement social réside dans sa capacité à mesurer et à faire le suivi de l’exclusion humaine, au niveau national et sous-national.
2017-08-01T00:00:00ZRapport du dialogue de haut niveau sur les politiques harmonisées de gestion des ressources naturelles en zone CEDEAOhttps://hdl.handle.net/10855/233662021-05-17T23:53:41Z2015-10-01T00:00:00ZRapport du dialogue de haut niveau sur les politiques harmonisées de gestion des ressources naturelles en zone CEDEAO
Du 6 au 7 octobre 2015 s’est tenu dans les locaux de l’Institut Africain de Développement
Economique et de la Planification (IDEP) le Dialogue de Haut Niveau sur les Politiques
Harmonisées de Gestion des Ressources Naturelles en zone CEDEAO, organisé par le Bureau
sous régional pour l’Afrique de l’Ouest de la Commission Economique des Nations Unies pour
l’Afrique (CEA/BSR-AO) en collaboration avec l’Institut Africain de Développement
Economique et de Planification (IDEP), l’Initiative pour la Transparence dans l’Industrie Extractive (ITIE) du Sénégal, la Commission de la CEDEAO, la Commission de l’UEMOA et le Centre Africain de Développement minier (CADM) avec la facilitation du Gouvernement du Sénégal.
2015-10-01T00:00:00ZConflits en République Démocratique du Congo:causes, impact et implications pour la région des Grands Lacshttps://hdl.handle.net/10855/227392021-05-17T23:53:41Z2015-01-01T00:00:00ZConflits en République Démocratique du Congo:causes, impact et implications pour la région des Grands Lacs
La République démocratique du Congo (RDC) se relève des conflits et affiche une amélioration
substantielle de sa performance microéconomique globale depuis la fin de la guerre,
grâce àla vigueur des exportations de cuivre et de cobalt. L’inflation a aussi sensiblement
diminué,sestabilisant à des niveaux inférieurs à 10 %,en grande partiegrâce à une politique
budgétaire restrictive qui s’est traduite par une compression des dépenses. Malgré ces avancées
positives, le pays connaît encore des problèmes structurels au niveau sectoriel, des
niveaux de pauvreté élevés, un fort chômage surtout parmi les jeunes et un accès inadé-
quat aux services sociaux de base pour la majorité de la population, surtout dans les zones
rurales.
2015-01-01T00:00:00ZConflicts in the Democratic Republic of Congo causes, impact and implications for the Great Lakes regionhttps://hdl.handle.net/10855/226872021-05-17T23:53:41Z2015-09-01T00:00:00ZConflicts in the Democratic Republic of Congo causes, impact and implications for the Great Lakes region
The Democratic Republic of Congo is recovering from conflicts, posting substantial improvement in overall macroeconomic performance since the cessation of the war, on the back of robust copper and cobalt exports. Inflation has also declined remarkably and it has stabilized at single-digit levels thanks in major part to restrictive fiscal policy achieved through expenditure compression. These positive developments notwithstanding, the country remains confronted with structural problems at the sect oral level as well as high levels of poverty, high unemployment especially for the youth, and inadequate access to basic social services for the majority of the population especially in the rural areas. This calls for high-level attention at regional and global levels to support the DRC government in the search for a solution to conflicts and in its efforts to put the country back on a path of sustainable development. In this context, this report seeks to contribute to deepening knowledge on the root causes and developmental implications of the conflicts in order to formulate informed policy decisions at national, regional, and international levels.
2015-09-01T00:00:00Z